Power of Morricone

Publié le par Gromitflash

J'écoute du Morricone à fond les ballons. Ca vrille les oreilles et ça apaise. Ca donne un sentiment de toute puissance. On est là avec cette force libérée en torrent destructeur sur la feuille alors pour vous donner une idée de ce que ça fait je vous conseil de mettre le son à fond et de recharger la page.
Ca vous bousillera les oreilles comme à moi et ça fera un peu monter mes stats ^^

Bref, deux nouvelles importante, une plus petite.

1) C'est de retour. Mon envie compulsive, maniaque d'écrire est de retour. Je suis à 2 pages words et à 4 pages 4A noircies par jour et il n'y a presque rien à en tirer. Mes réserves d'encre baissent, le cal sur le majeur gauche est de retour et la corbeille de mon ordi est bien remplie. Pas de quoi fouetter un rat direz vous.
Sous le chaos ambiant qui entoure mes délires, il y a des choses qui se dessinent. J'ai commencé à nouveau ce roman que je n'arrive jamais à continuer mais je le sens qui est là au bout des doigts. Il remue comme animé d'une vie propre. Il m'exhorte à le faire sortir avec force et volonté mais pour ça il faut encore que je le construise.
Ce qui est terrible c'est que ce roman soulève des idées auquelles je me dois de murement réfléchir : le mal, le pouvoir, la corruption, le devoir, l'amour fou impossible et pourtant qui rongera le héros jusqu'à lui faire commettre des actes que la morales réprouve. Oui je parle ici de nécrophilie même si la morte n'est pas pas vraiment ... erf. Oui ça me rappelle du Somtow mais a-t-il breveté l'idée ?
Le problème des noms revient toujours et m'embète. Oui j'ai ce problème particulier de ne jamais savoir comment réellement nommer mes personnages. Problème dans leur définition ? Est-ce que j'attache trop de sens aux prénoms ? J'ai surtout peur que des gens que je connais qui pourraient lire ce livre (si jamais il est un jour édité) ne le prenne pour elle dans un excès d'égocentrisme. Comment ne pas torturer un lecteur s'il se sent visé par le personnage qui commet un inceste ou qui meurt en page 4 ? Et surtout si le personnage meurt dans d'atroce souffrance. Y verra-t-on un souhait de l'auteur ?

Au passage pendant que j'y pense, j'ai finis Solaris. La fiche de livre viendra dès que possible !

2) Ma soeur doute. Depuis qu'elle a rencontré une conne de conseillère d'orientation qui lui a dit que le niveau de musicologie à la Sorbonne est très élevé et que de toute elle aurait dû faire le conservatoire même si on lui casse la voie là bas lui a fait peur. Son prof de chant en a d'ailleur rajouté une couche en lui disant texto qu'elle n'avait pas le niveau pour ça. Pour le chant professionnel classique oui par contre. Allons comprendre.

Elle est donc partie pour l'école normale de musique. C'est pas un drame mais ça lui plaisait plus d'aller à la Sorbonne. Au passage elle commence la préparation des concours. Elle est déçue parce que Rueil Malmaison prend à 18 ans qu'elle n'aura que l'an prochain et elle est stressée par le reste. Oui à sa place je serai également stressé : le conservatoire national (ou international) de musique ça fait peur !

3) Petit encars au passage. J'ai vu à la webcam la nouvelle coiffure de Lyanah. Ca fait bizarre mais c'est pas mal :3
Voilà, pour ce blog c'est fait, je suis passé sur The man with no name et ça roxx.
Je vais donc de ce pas m'occuper de l'autre blog qui réclame également mes attentions.

Publié dans Vie de Geek

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