Frénésie !
(je tiens à signaler par avance que tout ceci est écrit sous l'emprise de l'alcool avec cette chanson en fond sonore toute mes excuses pour les éventuels débordements qui pourrait transparaitrent).
Bon j'attaque sur ma journée.
D'abord des rêves qui reviennent souvent. Des fantasmes pour la plupart et d'autre chose. J'ai eu beau me coucher vers 2h hier soir, à 8h j'étais réveillé et dans l'incapacité de me rendormir.
Depuis 4 jours je travaille sur une nouvelle de science fiction. Oui j'ai regardé, oui j'ai réfléchit, oui j'ai vu l'idée, la situation, les personnages et je corrige mon style. Oui c'est du sérieux et oui quand elle sera finie et qu'elle sera passé entre les mains d'un ou deux copains (comme à tout hasard Clément) elle partira pour un périodique de science fiction québécois qui publie des nouvelles en français ou pour le périodique des Moutons Electriques. Oui je l'affirme, cette fois c'est à peu près du sérieux et donc plutôt que de me contenter d'écrire des morceaux sans lendemain qui iront alimenter des forums littéraires de leur platitude d'essai de style, je me suis lancé un défi et donc je l'écris et je la retravaille le lendemain. Elle est achevé à 15% peut-être, elle sera courte (moins de 80 000 caractère vraisenblablement) et surtout elle sera je l'espère publiée.
Ensuite les cours. Etrangement je suis heureux de l'endroit où je suis. Oui redoubler n'est pas si horrible et je sais que je l'aurais à la fin de l'année en bossant. C'est un sentiment étrange vraiment mais pour l'instant ce que j'en éprouve ressemble à de la plénitude.
Seul bémol (oopas), le retour. Bien parce que je cheminais avec Sandra (une connaissance de Selim) qui est une jolie jeune fille et qui est fort sympathique. Moins bien parce que Mohammed s'est incrusté et qu'il s'est comme toujours évertué à me casser les oreilles avec son sens de la politique si spécial. Je pense que j'aurai l'occasion d'en reparler.
Enfin ma soirée. Si je dit "ma soirée" un mercredi soir, c'est que j'en ai vécu une belle ce soir.
Oui, comme je suis membre de la section du 3e et plus ou moins proche du courant initié par Ségolène Royal et qui se veut réformateur du PS, j'ai été convié à la petite réunion politique de ma mère.
La politique dans le troisième, c'est quelque chose qui se fait d'une façon étrange à droite comme à gauche.
D'abord il faut voir la scène : une dizaine de personne réunit pour un apéritif-dîner improvisé qui parlent en buvant champagne et vin, et en dégustant des victuailles venant de la rue des Rosiers. La discussion est animée en ce moment sur des luttes de pouvoirs internes au PS, savoir qui sera sur la liste pour les législatives, ce qui est acceptable, ce qui ne l'est pas et les choses qu'on va dire à l'assemblée générale du 16/10. Dans un souci de vie privée, je ne dévoilerais pas qui était là et quels sujets ont exactement été abordés. Tout ce que je peux en dire c'est que j'ai bu pas mal, que j'ai entendu des choses interressantes et que ma vision de la politique locale a encore un peu changé.
Ca m'embète simplement d'en vouloir un peu à mon ancienne prof d'histoire-géo ou de lui reprocher de parfois avoir des engagements que je ne supporte pas personnellement. C'est la démocratie, c'est l'expression libre.
Pour finir une décharge sur le reste. Une décharge sur le monde. Oui l'alcool me rend encore euphorique pour les 2 prochaines heures et je suis assez conscient pour en profiter. C'est donc avec certitude que je peux dire que pour une fois la vie me semble bien. Même qu'elle me semble valoir vraiment la peine d'être vécue pleinement pour la première fois depuis longtemps.
Oui c'est une ivresse comme une autre cette ivresse de la vie ... et je vais m'arreter là car ce n'est pas exactement le sujet de ce billet. Bonne nuit ou bonne journée à ceux qui me lisent, moi je retourne à ma macro-économie.
Bon j'attaque sur ma journée.
D'abord des rêves qui reviennent souvent. Des fantasmes pour la plupart et d'autre chose. J'ai eu beau me coucher vers 2h hier soir, à 8h j'étais réveillé et dans l'incapacité de me rendormir.
Depuis 4 jours je travaille sur une nouvelle de science fiction. Oui j'ai regardé, oui j'ai réfléchit, oui j'ai vu l'idée, la situation, les personnages et je corrige mon style. Oui c'est du sérieux et oui quand elle sera finie et qu'elle sera passé entre les mains d'un ou deux copains (comme à tout hasard Clément) elle partira pour un périodique de science fiction québécois qui publie des nouvelles en français ou pour le périodique des Moutons Electriques. Oui je l'affirme, cette fois c'est à peu près du sérieux et donc plutôt que de me contenter d'écrire des morceaux sans lendemain qui iront alimenter des forums littéraires de leur platitude d'essai de style, je me suis lancé un défi et donc je l'écris et je la retravaille le lendemain. Elle est achevé à 15% peut-être, elle sera courte (moins de 80 000 caractère vraisenblablement) et surtout elle sera je l'espère publiée.
Ensuite les cours. Etrangement je suis heureux de l'endroit où je suis. Oui redoubler n'est pas si horrible et je sais que je l'aurais à la fin de l'année en bossant. C'est un sentiment étrange vraiment mais pour l'instant ce que j'en éprouve ressemble à de la plénitude.
Seul bémol (oopas), le retour. Bien parce que je cheminais avec Sandra (une connaissance de Selim) qui est une jolie jeune fille et qui est fort sympathique. Moins bien parce que Mohammed s'est incrusté et qu'il s'est comme toujours évertué à me casser les oreilles avec son sens de la politique si spécial. Je pense que j'aurai l'occasion d'en reparler.
Enfin ma soirée. Si je dit "ma soirée" un mercredi soir, c'est que j'en ai vécu une belle ce soir.
Oui, comme je suis membre de la section du 3e et plus ou moins proche du courant initié par Ségolène Royal et qui se veut réformateur du PS, j'ai été convié à la petite réunion politique de ma mère.
La politique dans le troisième, c'est quelque chose qui se fait d'une façon étrange à droite comme à gauche.
D'abord il faut voir la scène : une dizaine de personne réunit pour un apéritif-dîner improvisé qui parlent en buvant champagne et vin, et en dégustant des victuailles venant de la rue des Rosiers. La discussion est animée en ce moment sur des luttes de pouvoirs internes au PS, savoir qui sera sur la liste pour les législatives, ce qui est acceptable, ce qui ne l'est pas et les choses qu'on va dire à l'assemblée générale du 16/10. Dans un souci de vie privée, je ne dévoilerais pas qui était là et quels sujets ont exactement été abordés. Tout ce que je peux en dire c'est que j'ai bu pas mal, que j'ai entendu des choses interressantes et que ma vision de la politique locale a encore un peu changé.
Ca m'embète simplement d'en vouloir un peu à mon ancienne prof d'histoire-géo ou de lui reprocher de parfois avoir des engagements que je ne supporte pas personnellement. C'est la démocratie, c'est l'expression libre.
Pour finir une décharge sur le reste. Une décharge sur le monde. Oui l'alcool me rend encore euphorique pour les 2 prochaines heures et je suis assez conscient pour en profiter. C'est donc avec certitude que je peux dire que pour une fois la vie me semble bien. Même qu'elle me semble valoir vraiment la peine d'être vécue pleinement pour la première fois depuis longtemps.
Oui c'est une ivresse comme une autre cette ivresse de la vie ... et je vais m'arreter là car ce n'est pas exactement le sujet de ce billet. Bonne nuit ou bonne journée à ceux qui me lisent, moi je retourne à ma macro-économie.