Rien ne viens
Envie d'écrire mais rien ne vient. Oui rien. Néant, nada, nihil.
J'ai l'impression d'avoir passée une journée vide. Mes révisions avances mais je les sens vides elles aussi. Je les sens comme tant de choses inutiles et bête qui ne servent qu'à appliquer la séparation du grain et de l'ivraie sous pretexte de l'égalité des chances. Pourquoi amener 80% de la population vers un diplome inutile pour le jeter en pature à un système éducatif sclérosé où 20% réussiront et les autres perdront des années avant de trouver quelque chose. Et ce quelque chose signifie juste avoir un diplome, même pas une chance d'emploi.
Donc je m'occupe mes journées entre deux périodes de révisions intensives.
Bref, hors de ces considérations basses et stupide, je me sens mal. C'est tout. C'est sa faute. Elle, elle se reconnaitra, sème la zizanie chez moi quand je lis son blog. Oui les blogs je ne les lis que peux. De temps à autre je vais sur celui de Laurie, sur celui de Sophie ... et pour l'instant c'est les seuls.
Celui dont je vous parle est pour ceux qui veulent de la puissance.
Ce blog fait mal et interpelle, fais sourrire parfois, fais pleurer aussi.
Une vie, une attitude, une psychothérapie ? Un univers complet avec des personnages dix à quinze fois plus developpés que ce que je peux faire ici. Oui ce blog n'est pas un blog publique, je suis tombé dessus sans le vouloir.
En regardant les articles récent j'ai vu un titre, j'ai cliqué et je me suis pris une claque. Me voilà partit pour la lecture intégrale. C'est dur oui. Une femme, une verseau, une geek (c'est ce qu'elle dit il me semble) à la vie simple et compliquée. Simple car presque tout le monde la vivrait sans se poser de question. Compliquée parce qu'elle se pose des questions et qu'elle se pose de problème.
Histoire sentimentale compliquée, vie frustrante, deuil douloureux et autres joyeusetés qui font de la lecture de ce blog un délice, une torture, un roman ?
C'est assumé ou non. C'est à la fois réaliste, grinçant, cynique. Des histoires de femmes. Les femmes sont compliquée parfois, alors je lis et je tente de comprendre. Facile, pas facile. Déjà une 30taine de billets lu (sur 250) et déja je me sens comme un voyeur qui regarde là où il ne faut pas. C'est tentant pourtant non ? Comprendre, ressentir le poid de l'expérience, des souffrances et des forces, des mots qui forment un torrent et qui coulent tels des gouttes de pluie vengeresses, douloureuses et apésantes.
Je continuerai bien sûr à lire. Moi aussi je veux connaitre la fin de l'histoire qui commence. Alors, elle finit avec qui ? Et ses histoires s'arrangent ? Pas de réponse car pour comprendre la fin, il faut lire le début non ? On ne débarque pas au milieu de l'opéra, on commence à l'ouverture pour comprendre l'arrangement subtil des tons, des voix et des images qui surgissent.
Bref, un billet pour ne rien dire aujourd'hui et compréhensible peut-être de moi seul. D'elle aussi si elle le lis. Qu'elle le commente si elle le souhaite, cela n'a de toute façon pas d'importance.
J'ai l'impression d'avoir passée une journée vide. Mes révisions avances mais je les sens vides elles aussi. Je les sens comme tant de choses inutiles et bête qui ne servent qu'à appliquer la séparation du grain et de l'ivraie sous pretexte de l'égalité des chances. Pourquoi amener 80% de la population vers un diplome inutile pour le jeter en pature à un système éducatif sclérosé où 20% réussiront et les autres perdront des années avant de trouver quelque chose. Et ce quelque chose signifie juste avoir un diplome, même pas une chance d'emploi.
Donc je m'occupe mes journées entre deux périodes de révisions intensives.
Bref, hors de ces considérations basses et stupide, je me sens mal. C'est tout. C'est sa faute. Elle, elle se reconnaitra, sème la zizanie chez moi quand je lis son blog. Oui les blogs je ne les lis que peux. De temps à autre je vais sur celui de Laurie, sur celui de Sophie ... et pour l'instant c'est les seuls.
Celui dont je vous parle est pour ceux qui veulent de la puissance.
Ce blog fait mal et interpelle, fais sourrire parfois, fais pleurer aussi.
Une vie, une attitude, une psychothérapie ? Un univers complet avec des personnages dix à quinze fois plus developpés que ce que je peux faire ici. Oui ce blog n'est pas un blog publique, je suis tombé dessus sans le vouloir.
En regardant les articles récent j'ai vu un titre, j'ai cliqué et je me suis pris une claque. Me voilà partit pour la lecture intégrale. C'est dur oui. Une femme, une verseau, une geek (c'est ce qu'elle dit il me semble) à la vie simple et compliquée. Simple car presque tout le monde la vivrait sans se poser de question. Compliquée parce qu'elle se pose des questions et qu'elle se pose de problème.
Histoire sentimentale compliquée, vie frustrante, deuil douloureux et autres joyeusetés qui font de la lecture de ce blog un délice, une torture, un roman ?
C'est assumé ou non. C'est à la fois réaliste, grinçant, cynique. Des histoires de femmes. Les femmes sont compliquée parfois, alors je lis et je tente de comprendre. Facile, pas facile. Déjà une 30taine de billets lu (sur 250) et déja je me sens comme un voyeur qui regarde là où il ne faut pas. C'est tentant pourtant non ? Comprendre, ressentir le poid de l'expérience, des souffrances et des forces, des mots qui forment un torrent et qui coulent tels des gouttes de pluie vengeresses, douloureuses et apésantes.
Je continuerai bien sûr à lire. Moi aussi je veux connaitre la fin de l'histoire qui commence. Alors, elle finit avec qui ? Et ses histoires s'arrangent ? Pas de réponse car pour comprendre la fin, il faut lire le début non ? On ne débarque pas au milieu de l'opéra, on commence à l'ouverture pour comprendre l'arrangement subtil des tons, des voix et des images qui surgissent.
Bref, un billet pour ne rien dire aujourd'hui et compréhensible peut-être de moi seul. D'elle aussi si elle le lis. Qu'elle le commente si elle le souhaite, cela n'a de toute façon pas d'importance.